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Évaluation externe du Projet ACCOMPAGNER LES ACTEURS LOCAUX DANS LA DIFFUSION DE LA VOUTE NUBIENNE AU BURKINA FASO, AU BENIN, AU MALI ET AU GHANA (EXPIRED)

Appel d'offres

Informations générales

Pays:   International
Ville/Localité:   Ganges
Numéro de l'avis/du contrat:   CZZ 2758 01K
Date de publication:   Jul 22, 2021
Date limite (heure locale):   Août 31, 2021 - 23:30
Agence de financement:   Agence Française de Développement - Agence de Financement
Acheteur:   FRANCE - Association la Voûte Nubienne (AVN)
Eligibilité des Soumissionaires:   • Expérience en matière d'évaluation de projets et de programmes ;
• Expérience en matière de développement ;
• Connaissances et expertises techniques et sectorielles dans les domaines suivants : formation professionnelle en secteur informel et formel, appui au développement de filières de production informelles et formelles, appui au renforcement de capacités des acteurs institutionnels et des opérateurs de développement du Sud, expertise du changement d’échelle et sur les modèles économiques du développement ;
• Expérience dans les pays sahéliens ;
• Expérience des bailleurs de fonds internationaux.
Langue d'origine:   Français

Contact

Adresse :   Celine ROBERT
Directrice Suivi Evaluation
Association la Voûte Nubienne
7 rue Jean Jaures
Ganges 34190
France
Téléphone:   + 33 4 67 81 21 05
Adresse électronique :   celine.robert@lavoutenubienne.org
Site Web:   http://www.lavoutenubienne.org

Marchandises, Travaux et Services

 

Texte original

I. PRÉSENTATION GÉNÉRALE DU PROGRAMME D’AVN
La voûte nubienne est une technique de construction ancestrale, originaire du Haut-Nil et historiquement inconnue en Afrique de l’Ouest, n'utilisant, en particulier pour la toiture, que des matériaux locaux (principalement la terre). En 1998, Thomas Granier, maçon français et Séri Youlou, cultivateur burkinabé ont recherché technique au Burkina Faso pour retrouver cette technique de construction, la simplifier et la standardiser afin qu’elle s’inscrive dans les savoir-faire locaux et soit facilement transmissible, par des maçons à leurs apprentis, dans une logique de compagnonnage. La démonstration des qualités économiques, de confort et d’usage de ces premières constructions et l'intérêt évident que cette alternative architecturale représente pour les populations sahéliennes, ont conduit à la mise en place d'une stratégie de vulgarisation de la technique VN. Le programme a ainsi débuté au Burkina Faso en 2000, puis s’est étendu au Mali (2007) et au Sénégal (2010). Forte de son expérience sur ces 3 pays, AVN a par la suite ciblé l’ouverture de son programme au nord du Bénin et du Ghana (en 2014).
Le projet s’inscrit dans un contexte marqué par une quintuple problématique touchant à des besoins cruciaux et d’ampleur en Afrique sahélienne, qui de surcroît s’intensifient mutuellement : l’habitat, l’insertion professionnelle, l’environnement et les changements climatiques, le renforcement des économies rurales et agricoles.
Habitat : L’habitat est précaire pour une majorité de la population des pays d’Afrique sahélienne et selon le World Resources Institute, plus de 50% de la population sahélienne (soit plus de 100 millions d’habitants) n’a pas accès à un habitat décent, alors même qu’il s’agit d’un besoin prioritaire. En effet, à cause de la déforestation et de la démographie, le bois et la paille, utilisés traditionnellement pour les toitures, ne sont plus disponibles et les populations n’ont d’autres choix que d’utiliser leurs faibles ressources monétaires pour recourir à des matériaux d’importation totalement inadaptés (principalement les tôles). L’inconfort (thermique, acoustique, etc.), la précarité et l’inadéquation générale des modes constructifs auxquels ont accès les populations sahéliennes, et plus spécifiquement encore les femmes et leurs enfants, principaux utilisateurs, accentuent la vulnérabilité des populations et grèvent leur capacité globale de résilience. De plus, les bâtiments communautaires ou productifs n’offrent pas suffisamment les qualités attendues au regard de leurs usages (accueil, stockage, transformation, etc.). Face à ce constat, AVN fédère depuis 2015 des acteurs divers autour de la promotion d’un habitat adapté au Sahel, comme levier essentiel à l’atteinte des objectifs de développement durable. Un manifeste2 a ainsi été rédigé par AVN et signé par des personnalités dans les domaines de la politique, de l’économie, de la culture, la solidarité internationale, etc.
Emploi et développement entrepreneurial : Dans les pays d’intervention, l’agriculture de subsistance emploie 80% de la population active. Or, il s'agit principalement d'un travail saisonnier qui n’occupe les agriculteurs que de juin à octobre, lors de la saison des pluies. Le reste de l’année, les paysans n’ont que de rares solutions d’emplois locaux, dont des métiers offrant peu de perspectives d’avenir et souvent dangereux (orpaillage) ou sont poussés vers les marchés urbains avec toutes les conséquences sociétales qui y sont liées. Pour ces travailleurs ruraux, de nombreux projets de formation professionnelle n’ont pas eu les impacts espérés en raison d’une approche trop formalisée (dans des centres de formation par exemple) au regard des niveaux d’éducation de base (l’illettrisme est important), d’une mauvaise appréciation du potentiel de débouchés professionnels, notamment dans les économies informelles et de parcours formatifs pas suffisamment inclusifs. Enfin, les artisans sahéliens manquent, dans leur très grande majorité, de capacités entrepreneuriales qui leur permettraient, au-delà de l’acquisition de savoir-faire techniques, de porter et faire croître un projet commercial sur les marchés locaux.
Environnement, atténuation et adaptation aux changements climatiques : Les populations des régions du Sahel, dont on connait la démographie, font face à la disparition des ressources ligneuses utilisées dans la construction vernaculaire, et à l’augmentation des événements climatiques extrêmes (vents violents, hausse des températures moyennes et extrêmes, etc.). Les toitures en tôles très largement utilisées pour remplacer les toitures traditionnelles, ont une forte empreinte carbone, (fabrication, transport), et sont largement inadaptées aux conditions climatiques (manque d’inertie thermique, fragilité face aux aléas climatiques). Pour contribuer à la fois à l’atténuation des changements climatiques et à l’adaptation du secteur de la construction aux nouvelles conditions environnementales, il est essentiel que les modes constructifs alternatifs favorisent la protection des ressources ligneuses, limitent les émissions de gaz à effet de serre et permettent la résilience et l’adaptation des populations qui en bénéficient.
Croissance des économies rurales agricoles : L’importation de matériaux de construction, le manque d’emplois locaux particulièrement en contre-saison et la précarité des conditions de vie liées à un habitat insalubre engendrent des cercles vicieux qui paupérisent plus encore les populations sahéliennes déjà soumises à des contextes économiques largement défavorables. Ceci est encore plus vrai pour les femmes et leurs enfants. En effet, celles-ci puisent dans les revenus de leurs petits commerces pour l’achat de matériaux de construction inadaptés, grevant ainsi les investissements d’approvisionnement, de santé et d’éducation nécessaires à la famille. De plus, les femmes, assurant prioritairement la gestion du foyer, subissent directement l’inconfort des familles et le manque d’emplois de leurs maris et de leurs enfants.
II. CONTEXTE DE L’ÉTUDE
AVN souhaite réaliser une évaluation externe finale de son projet financés par l’Agence Française de Développement : « Accompagner les acteurs locaux dans la diffusion du marché de la Voûte Nubienne, pour des bâtiments bas-carbone adaptés et des métiers à forte employabilité au Sahel »
La note d’initiative ONG est en ligne ici https://depot.lavoutenubienne.org/Documents/Marketing_Promotion/Levee_de_Fonds/Grands_Comptes/Partenaires/AFD/19-22_AFD_BF-ML-BN-GH/19-12-17_NIONG_AVN_V2.doc
Ce projet doit mobiliser un total de 2 744 893 €, dont 1 300 000 € apportés par l’Agence Française de Développement.
III. OBJECTIFS DE L'ÉVALUATION
Cet appel d’offres vise à réaliser l’évaluation externe finale du projet, suivant les critères du Comité d’aide au développement de l’OCDE (pertinence, efficacité, efficience, impact et viabilité), afin d’en apprécier globalement et de manière indépendante les résultats, en référence aux objectifs visés dans la Note d’initiative ONG et la convention de financement. Le projet relève d’une 3eme phase de financement de l’AFD (conventions projet multi-pays), visant l’appropriation par des acteurs locaux, de la méthodologie de diffusion du marché VN amorcée, testée et optimisée durant les 2 premières phases.
A. Questions évaluatives
Pertinence
Il s’agira d’apprécier d’une part le bien-fondé de l’action conduite au regard des objectifs et des enjeux déterminés au départ. Et d’apprécier, d’autre part, comment ce bien fondé a évolué au cours du temps. Dans ce cadre, sera examinée de manière systématique la correspondance du projet avec :
-Les besoins et les orientations nationales des pays concernés ;
- Les besoins et attentes des bénéficiaires ;
- Les stratégies et interventions des autres parties prenantes (ONG, bailleurs de fonds, collectivités locales, acteurs économiques du secteur de l’habitat, etc.).
Efficacité
Il s’agira d’apprécier en premier lieu le taux de réalisation du projet (comparaison entre les réalisations attendues et les réalisations effectives). Et d’apprécier ensuite le degré d’atteinte des objectifs du projet. Il s’agira, pour ces deux appréciations, d’une part, de procéder à une analyse des écarts constatés et à une analyse spécifique des freins et des accélérateurs principaux de développement du marché et de l’approche d’AVN, notamment en termes de transfert de la méthodologie de diffusion du marché de la VN à des partenaires locaux, et d’autre part, d’élaborer des propositions permettant de lever ces freins et de démultiplier les effets attendus.
Efficience
L’efficience étudie la relation entre les moyens mis en œuvre et leurs coûts, d’une part, et les réalisations financées, d’autre part. Il s’agira ici d’apprécier si les ressources du programme dans son ensemble ont été converties en résultats de façon économe. L’évaluation conduite doit permettre :
- D’apprécier si les ressources nécessaires ont bien été mises en place, en temps voulu et au moindre coût ;
- D’analyser les éventuels retards et dépassements constatés ;
- D’apprécier si les éventuels écarts entre la croissance des coûts et celle des résultats s’inscrit dans une dynamique d’efficience sur le moyen et long terme ;
- D’analyser le montage financier entre les partenaires de l’action ;
Impact
L’impact juge les retombées de l’action sur les acteurs concernés, et notamment les bénéficiaires. Il s’agira d’apprécier ici les perspectives d’effets à long terme, positifs et négatifs, primaires et secondaires, qui peuvent être raisonnablement attribués en partie ou en totalité à l’action évaluée, directement ou non (effets directs et indirects), intentionnellement ou non (effets attendus ou non attendus). Si possible, l’analyse portera sur des indicateurs traduisant des résultats quantifiables. Il s’agira de traiter pour cela l’information pertinente issue des systèmes statistiques existants et du dispositif de suivi du projet. Cette analyse sera toutefois complétée par une appréciation qualitative des impacts dans certains domaines tels que les impacts environnementaux, atténuation/adaptation, économiques, sociaux, culturels, institutionnels et sur l’égalité femmes-hommes par exemple.
Viabilité
La durabilité est définie comme la continuation des bénéfices résultant d’une action de développement après la fin de l’intervention. Elle est donc assimilée à la probabilité d’obtenir des bénéfices sur le long terme et à une situation par laquelle les avantages nets sont susceptibles de résister. Dans le cadre de l’évaluation en fin de parcours du projet, il s’agira d’examiner ici si les actions déjà mises en œuvre sont de nature à se maintenir, voire à s’amplifier, dans la durée, et si oui à quelles conditions. Il faudra veiller à apprécier la durabilité des structures et institutions soutenues mais aussi la durabilité des effets générés par ces projets financés par l’Agence Française de Développement. En particulier, il s’agira d’analyser les conditions de durabilité économique du marché de bâtiments selon la technique Voûte Nubienne.
L’évaluation sera menée de façon à donner un avis sur le déroulement global du projet. Cependant, des questions évaluatives spécifiques intéressent particulièrement AVN en vue d’une demande de poursuite du financement AFD dans le cadre d’une convention programme. Elles devront faire l’objet de recommandations spécifiques qui permettront à l’AFD de juger de la pertinence des éléments présentés dans la NIONG pour une convention programme déposée par AVN :
- Quel est le niveau de notoriété des VN dans les UI/TI où intervient le projet ? Quels sont les attentes prioritaires des populations locales par rapport au concept VN pour eux-mêmes et pour leur famille (accès à un logement plus confortable, accès à la formation professionnelle, création d’emplois locaux, autres ?)
- L’effet de levier des incitations financières sur la croissance du marché est-il significatif ? Peut-on le mesurer ? Doit-il et peut-il s’institutionnaliser et se pérenniser, et comment ?
- Au Burkina Faso et au Mali, le dynamisme du développement du marché signe-t-il une appropriation locale du concept VN ? Peut-on mesurer une certaine autonomisation du marché (i.e. les clients et les maçons s’entendent directement entre eux, sans intervention d’AVN hormis l’attribution du CIC) ?
- A ce stade, la pertinence du concept méthodologique de diffusion du marché de la VN est-elle confirmée par les bénéficiaires (partenaires opérateurs, clients et acteurs de la construction) ? Comment peut-il/doit-il être amélioré/rendu plus effectif, (en particulier le modèle de transfert méthodologique, de renforcement de compétences et d’autonomisation des partenaires opérateurs)
- Le parcours de formation est-il suffisamment inclusif ? Permet-il toujours l’accès à une activité génératrice de revenus ?
- Quelle est la valeur ajoutée de la certification (ex au Burkina Faso : CQB, CQP) aux yeux des apprenants ? et aux yeux des clients ?
- Qui sont les acteurs-clés encore trop absents sur le marché de la VN et qui constituent un frein à son développement ? Comment les intégrer ?
- Comment la position d’AVN sur le marché de la VN est-elle perçue par les différents acteurs (clients privés, ONG, bailleurs, maitres d’ouvrage) engagés sur ce marché ? Comment ce positionnement devrait-il évoluer pour une meilleure visibilité et compréhension du rôle d’AVN ?
- L’adoption du concept VN par de multiples acteurs (ONG, bailleurs, maitres d’ouvrage) au Sahel et plus largement, et leur intérêt pour les propositions d’AVN en termes de diffusion du marché VN, amène-t-il AVN à renforcer sa position en tant que structure référente du concept technique et de ses dynamiques de diffusion ?
- Les méthodes permettant l’implication et la diversification des parties prenantes (acteurs de la société civiles, acteurs de la formation professionnelle, acteurs institutionnels, acteurs de la filière construction) et les modes de collaboration avec ces différents acteurs doivent-ils être améliorés, si oui sur quels aspects et dans quel but ?
- Quels seraient les thèmes principaux à retenir pour poursuivre le travail de recherche & développement dans le cadre d’une amélioration des performances économiques de la filière?
- L’ensemble des indicateurs définis au début du projet sont-ils adaptés à l’évolution et au changement d’échelle du programme ? Quels indicateurs pertinents quantitatifs/qualitatifs permettant de mieux mesurer les impacts transversaux du marché mériteraient d’être renforcés ?
- comment les enjeux liés à l’égalité des genres peuvent-ils être mieux pris en compte dans la mise en œuvre du programme ?
- Quelles recommandations pour améliorer la capacité de mobilisation des fonds par AVN et par ses partenaires permettant d’assurer la continuité des projets et la croissance du programme
B. Produits à rendre
Les livrables de la mission, à transmettre sous format électronique, sont :
• Un document de cadrage de l’évaluation ;
• Un support de présentation des principales conclusions de l’évaluation ;
• Un rapport intermédiaire sur les deux premières années du projet
• Un rapport final incluant la dernière année.
C. Modalités de paiement
• 30% à la signature du contrat ;
• 30% à la réception du document de cadrage de l’évaluation ;
• 30% à la réception du rapport intermédiaire ;
• 10% à la réception du rapport final.
D. Pilotage de l’étude
Le pilotage de l’étude et le suivi de la prestation seront réalisés par AVN.
IV. CALENDRIER PRÉVISIONNEL
L’évaluation devra être réalisée en deux phases :
- D’Octobre à Décembre 2021 pour le rapport intermédiaire qui devra être remis en Décembre 2021
- De Avril à Mai 2022 pour le rapport final qui devra être remis en Mai 2022
Le calendrier prévisionnel de l’évaluation inclura notamment une réunion de cadrage à Ganges ou par visio, des missions de terrain dans des zones de mise en œuvre des projets, une réunion de travail sur les conclusions de l’évaluation pour le rapport intermédiaire, une réunion de travail sur les conclusions de l’évaluation pour le rapport final et une réunion de restitution des conclusions de l’évaluation à Paris, en présence des partenaires concernés par le projet.
Les dates de mission seront également fonction de la disponibilité des différentes parties prenantes, notamment les responsables d'AVN.
V. CANDIDATURES
A. Profil des candidat.e.s
Les candidat.e.s doivent disposer d'expériences significatives dans les domaines suivants :
• Expérience en matière d'évaluation de projets et de programmes ;
• Expérience en matière de développement ;
• Connaissances et expertises techniques et sectorielles dans les domaines suivants : formation professionnelle en secteur informel et formel, appui au développement de filières de production informelles et formelles, appui au renforcement de capacités des acteurs institutionnels et des opérateurs de développement du Sud, expertise du changement d’échelle et sur les modèles économiques du développement ;
• Expérience dans les pays sahéliens ;
• Expérience des bailleurs de fonds internationaux.

B. Critères de sélection

L’évaluation technique des offres sera effectuée en fonction de leur conformité aux termes de référence et des critères suivants :
• Compréhension des termes de référence 20 points
• Méthodologie (pertinence et justification) 30 points
• Qualification et expérience 50 points
Chaque proposition conforme se verra attribuer un score technique (St). Une proposition sera rejetée à ce stade si elle ne satisfait pas à des aspects importants des termes de référence, ou n’atteint pas le score technique minimum de 65 points sur 100.
La proposition financière la moins-disante (Fm) recevra un score financier (Sf) de 100 points. Les scores financiers (Sf) des autres propositions financières seront calculés de la manière suivante :
Sf = 100 x Fm/F
Sf étant le score financier, Fm la proposition la moins-disante et F le montant de la proposition considérée.
Les propositions seront ensuite classées en fonction de leurs scores technique (St) et financier (Sf) combinés après introduction de pondérations (T = 0,8 étant le poids attribué à la Proposition technique et P = 0,2 le poids accordé à la Proposition financière), selon la formule :
S = St x T + Sf x P
C. Proposition technique
La proposition technique et méthodologique devra inclure les éléments suivants :
• Compréhension des termes de référence (2 pages maximum) ;
• Méthodologie incluant le calendrier prévisionnel (8 pages maximum)
• Une proposition financière détaillée et n’excédant pas 40 000 euros TTC ;
• Présentation, références et CV ;
• Coordonnées bancaires et numéro d’enregistrement commercial.
La proposition est à envoyer par courrier électronique à Céline ROBERT au plus tard le 31 Août 2021 à l’adresse mail suivante : celine.robert@lavoutenubienne.org
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